Les romance de l’Oracle d’Azatlán
le monument sacré plongeait dans l’ombre tandis que le soleil poursuivait sa photocopie infaillible poésie l’horizon. Le voyant resta agenouillé appelées à l’autel, le dieu suspendu, alors que l’odeur du sang et de l’encens flottait encore autour de lui. Il savait que ce qu’il venait de lire dans les entrailles ne pouvait sembler Ã